Ma mère est une sorcière. Raconter mon histoire commencerait par raconter celle de ma mère mais je ne peux le faire car je n’étais pas encore né. C’est une chose que j’ai su avant mes huit ans pendant des histoires qu’elle me racontait pour m’endormir le soir.
Parler de mes parents est une chose importante à savoir. Mon père que je déteste pour avoir toujours été au travail, jamais à s’occuper de moi comme un vrai parent digne de ce nom. Son entreprise lui prend tout son temps disait-il. Il ne rentrait pas toujours et quand il était là, c’était enfermé dans son bureau pour être dans le calme alors que je savais très bien qu’il continuait à travailler pour l’avoir espionner à travers le trou de la serrure de la porte. C’est lors d’un voyage d’affaire qu’il eu fait la rencontre de se sera ma mère, au Japon, un pays magnifique. Ma mère est incroyablement belle. Je comprends pourquoi mon père a prit un peu de temps pour l’épouser, malgré la différance avec les autres femmes, sa peau blanche l’a rendait lumineuse tel un rayon de lune la nuit, ses cheveux blancs attacher en deux très longues couettes. C’est mon père qui a gardez les photos, je n’ai peu les voir que très peu de fois, jusqu’à un certain âge ou je ne l’ai ai plus du tout vues. Le kimono dans le quel elle s’était marié lui allait parfaitement, elle était resplendissante, parfaite. Je ne sais pas comment cela c’est passé mais mon père avait passé ce seul moment avec ma mère, bien qu’il l’appelait souvent à partir du boulot qu’il occupait, ma mère l’aimait beaucoup peu importe la distance à laquelle il était, il est vrai que mon père était bel homme mais je ne l’aimais pas tout de même, bien que j’ai certain trait de son visage, le reste venant de cette maman que j’ai tant aimé, qui me manque profondément encore aujourd’hui. Mon père avait le temps pendant ses jours heureux, la lune de miel longue et profitable pour ce couple si parfait. C’est peut-être pendant ses temps là que mes parents sont devenus parents, en dormant et se mettant à nu pour m’avoir en récompense. Ma mère avec un visage radieux le jour ou elle ma mit au monde, ne voyant que le flou de son visage ce jour la, passant mon temps à pleurer et a téter son sein pour en extraire le lait maternel qui m’a donner la force de vivre en même que son amour si précieux.
Petit à petit je pris de la taille et de l’endurance, pour voir un jour marcher de mes propres pas, mais mon père n’était pas là pour voir ce miracle, encore au travail qu’il ne profita que pour nous rendre heureux d’une richesse que je n’ai jamais voulu pour mon héritage, vivre avec eux aurait été le plus beau cadeau que l’on m’offrirait, se qui n’est plus cas à présent. Un jour mon père eu nu accident dans la maison en portant une charge lourde fait de dossier en tout genre dans les bras en descendant les escaliers du manoir, il fut mit au lit durant plusieurs semaines paralysant son travail, et c’est en voulait le reprendre au plus vite qu’il aggravait son mal. Ma mère pleurant les larmes de tout son corps, elle fit une sorte de miracle ce jour là. Mon père se souciait de notre confort donc de notre richesse alors ma mère alla résoudre ce problème d’elle-même.
C’est le jour de mes sept ans que tout cela était passé, pendant une nuit des tonnes d’or sont apparues dans le grand salon. Il faut dire que cette nuit là je ne dormais pas à cause de ma mère d’ailleurs. Entendant des bruits dans le manoir alors que tout le monde dormait je me suis dit que c’était les domestiques qui étaient en train de préparer mon anniversaire. Hors il s’agissait de maman qui utilisait sa magie, oui sa propre magie pour résoudre les problèmes de la famille en invoquant plusieurs tonnes d’or et d’autre richesse afin de combler le trou qui allait manquer à la famille pour plusieurs générations. Bien entendu cette somme est énorme, gigantesque même. Il en avait assez pour vivre plusieurs générations sans en manquer. Maman ne pensait qu’à notre bonheur. Cette lumière qu’il y avait dans le salon principal remplaçait le soleil qui éclairait l’intérieur de temps en temps pour y voir un peu plus clair. Je n’ai jamais vu autant de jaune aussi brillant de toute ma vie. Mais pourtant, le matin une fois que je m’étais endormi en voyant cela j’ai tout simple cru que cela était un rêve. Qui pourrait croire que sa mère est en faite une magicienne, c’est le soir que j’appris la vérité sur ma mère, elle me le raconta mais me demanda de le gardez secret pour mon père. Cela n’est fait que pour notre bonheur qu’elle disait en pleurant.
Le jour de mon anniversaire se passa en famille, nous trois avec les domestiques qui en faisait partis, pour dire, j’avais moi-même demander qu’ils restent avec nous. Ma mère m’avait offert quelque chose que je garde encore avec moi. Un collier d’un diamant extrêmement pur, sur une chaine en argent, qu’elle accrocha autour de mon coup. Mon père voyait cela comme un énorme cadeau. Mes parents qui connaissaient ma passion pour les armes blanches, ma mère m’offrit une magnifique épée noire. Elle m’a raconté que cette épée avait été forgé dans un métal précieux et maintenant inexistant. Celle lame offrait à son possesseur la meilleur arme du monde entier. Mais se qui m’a été le plus grand cadeau est que mon père était avec nous ce jour là. Ce jour en famille je ne l’oublierais jamais, ce fut le premier et le dernier malgré tout. Les domestiques n’étaient plus considérer comme tel à partir de ce jour. Tout le monde souriaient cela me suffisait, ma mère ne pleurait plus, mon père semblait dans une grande forme et moi j’avais la joie de vivre, un sourire aux lèvres. Une fois fini, les cadeaux offerts que ce soit par ma mère, mon père ou les autres membres du manoir.
Au milieu de ma septième année que les choses allaient de plus en plus mal. Mon père qui ne supportait plus ne rien faire dans la maison était encore au travail, seul avec ma mère, nous avons parlé de cette nuit là, la nuit de lumière. Annonçant qu’elle était une
sorcières semblait vouloir dire quelque chose pourtant elle le cachait à ce moment là. La richesse que l’on avait était de son fait, je le savais déjà mais fit comme si se n’était pas le cas. En apprendre autant sur une mère si extraordinaire me remplissait de joie, comme s’il me racontait l’une de ses histoires pour me faire dormir le soir après une longue journée. Chaque jour, elle m’en racontait un peu plus et pourtant le jour de mon huitième anniversaire tous changea et s’arrêta.
Lors de mes huit ans, il y eu les cadeaux habituelle, épée et autre genre d’arme blanche comme cadeau, se qui complétait ma collection qui en comportait déjà une dizaine mais également un tableau, un grand tableau. A l’ouverture, il y avait sa mère dessus peinte les cheveux tournant autour d’elle en spiral avec un fond bleu nuit, ma mère dans une robe noir magnifique typique japonaise. Je fis un énorme câlin à ma mère, le dernier même, une fois donné elle avait qu’elle allait chercher quelque chose mais en passant la porte on attendit et on attendit longtemps mais ne voyant qu’elle ne revenait pas je partis à sa recherche en l’appelant mais aucune réponse. Rien. Mon père et les domestiques cherchèrent également sans succès, annonçant sa disparition. C’était surement du à son secret mais je n’en parla à personne ne préférant pas que le me prennent pour un idiot à sortir la sornette comme quoi maman était une
sorcières et se qu’elle avait fait pour nous. Mais pour moi, une profonde tristesse était là, j’entra dans ma chambre et pleura les larmes de tout mon corps pendant plusieurs jours.
Perdre sa mère du jour au lendemain est quelque chose de très perturbant, sollicitant les plus intime sentiments d’un être, la tristesse, la colère, la peur, le courage, la joie, mais pour moi en ce moment il n’y a que de la tristesse. J’ai perdu ma mère, j’ai perdu le seul amour que j’avais dans cette maison, j’ai tout perdu. La seul chose qui me reste de ma mère est de la vie qu’elle m’a offerte, ainsi que les bijoux et armes de ma collection sans oublier ce tableau que j’aime tant, afin de ne pas oublier ma mère je contemple ce tableau tout les jours pendant plusieurs heures, le soir avant de dormir me rappelant des histoires de
sorcières qu’elle me racontait. Tout cela me manque, je veux qu’elle revienne mais je sais très bien que cela ne sera jamais le cas. Son secret de
sorcières m’étant relever elle à du partir sur certaine cause que je ne connais pas. Comment les connaitre alors que maman est parti d’un coup, du jour au lendemain, me laissant seul avec un père sans sentiment pour moi. Je hais mon père. Les rares repas que j’ai avec lui ne sont que silence, les domestiques essayent en vain de me remonter le moral, impossible. Tous les jours je pleure la disparition de ma mère, les servants écoutant à travers ma porte fermer mes cris de tristesse, qui s’entendent d’ailleurs à travers tout le couloir. Ils frappent à la porte pour que je leur ouvre mais je fais semblant de ne pas avoir entendu, je veux être seul, à jamais.
J’ai exprimé ma tristesse dans mes pleurs le soir durant plusieurs mois. Mon père voyant que quelque chose ne tourne pas rond en son sens. Les domestiques me chouchoutent un peu trop d’après lui et il serait temps que j’oublier ma mère. La scolarité serait une bonne idée, uniquement en son sens, pour provoquer cette oublie d’un être cher. Je n’oublierais jamais ma mère, il le sait très bien mais il veut en quelque sorte que je passe moi de temps seul et plus de temps avec des enfants de mon âge. J’ai dix ans à présent, je me prépare à entrer dans une scolarité que je ne veux qu’à moitié. Les cours seront une bonne occupation de la journée, c’est tout se que je vois d’intéressant. Maman m’a apprit à écrire et à lire, un peu à d’arithmétique également sans oublier le français. J’apprenais aussi le japo
nais à l’aide d’un professeur à la maison. J’avoue que je consacrais plus de temps au japonais qu’aux autres matières, étant la langue
natale de ma mère, la culture japo
naise et tout le reste faisait parti des cours à la maison. Le visage que je porte est des plus neutres, cachant la tristesse en moi que j’aurai jusqu’à la fin de mes jours. Le collège privé dans lequel j’entre à une bonne réputation. Ma différence attire beaucoup de regard, mes yeux rouges se contente de regarder droit devant moi, un visage passait de temps en temps, ces visage de surprise que j’observe seulement quelqu’un instant le temps qu’il ne soit plus dans mon champ de vision, un point fixé sur la porte d’entrée de l’établissement, rien d’autre. Les couloirs interminable et pourtant facile à traverser, les élèves me regardant encore et encore tout en se rangeant contre les murs sous l’ordre du professeur. Ses uniformes plus au moins horrible que je vais sans doute porter pendant les cours vont faire partis de mon quotidien, fini les vêtements de mon style n’importe ou je passe, mais par contre ma cape ou mon béret je le garderai. Je l’ai dit à mon père, il me faut quelque chose sur la tête pour me protéger du soleil. Fort heureusement il n’oublia pas ce détail que ma cape fut permissent contrairement au béret qu’ai un chapeau que l’on ne porte pas dans la cours comme si l’on était dehors. Je vais devoir supporter le regard des autres pendant les récréations, je sens que je ne vais pas aimer les instants de détente en dehors des cours.
Le premier jour était comme si je n’avais pas eu de cours, les présentations entre les élèves et moi, les questions dans le sens de l’illogique, question sur mon apparence, pourquoi ceci pourquoi cela. Ma réponse était indéniable, je ne répondais pas et je m’éloignais de tout le monde, la capuche sur la tête allant dans un autre coin d’ombre vide de monde. La solitude que je désire se fais souvent briser, toujours les mêmes gamins qui se ramènent afin de soi me poser des questions, soit se moquer de mon apparence. Je ne répondais jamais à leurs questions ou provocations, je restais de marbre. Les jours passait et je restais toujours le même, sans changement appartenant même en se qui concerne ma mère. Tu me manque maman, affreusement, je veux te voir encore une fois mais je n’ai que ton tableau pour te contempler.
Plusieurs mois se passe et fur et à mesure je commence à parler avec les autres, confrontations par moment m’ont fait gagné un certain respect envers les autres, le coup de poing que j’ai donné au dernier enquiquineur à marquer certain, alors qu’il voyait un corps inerte mais encire vivant sur le sol. Je lui avais envoyé toutes ma tristesse dans ce poing, ainsi que ma rage de le voir continuer à me chercher des ennuies alors il a payé. Même mon père qui avait entendu parler de cette histoire avait vu des changements visibles, il voyait ça comme un réveil de ma part envers autrui. Les domestiques, eux, faisaient comme ma mère en disant que se n’était pas bien de faire ça, mon père en riait même. Ce comportement à la maison avait légèrement changé aussi, je regardais constamment le tableau de ma mère, en silence comme si elle me regardait aussi dans les yeux.
C’est vers mes treize ans que je pu finalement oublier quelque peu une tristesse sans fin, sans oublier ma mère bien entendu. Pendant deux ans, j’ai étudié le Japo
nais, me suis amuser à manipuler quelque une des armes de ma collection, et enfin faire des recherche sur tout se qui est
sorcières dans la bibliothèque jusqu’à trouver tout les explicatifs de leur magie. A se demander si ce livre ne m’avait pas été laissé par quelqu’un. Peu importe, j’ai dévoré le livre, plusieurs fois même en observant les moindres détails des moindres dessins du livre, leur signification etc. Rapidement, je con
naissais par cœur les pentacles des
sorcières, les protections… C’est dans cette période que mes notes du collège étaient de plus en plus basses mais j’en avais que faire. Se que l’on apprenait n’allait en aucun être utile dans la vie, encore moins dans la mienne. Mais cela ne tarda pas, dès que j’en savais assez pour ne plus l’oublier même après des années, je repris les études de manière correcte, je n’allais pas allez jusqu’à parfaitement mais j’étais facilement l’un des premiers de ma classe.
La haute école arriva rapidement à ma portée. Un nouvel horizon, de nouvelles têtes, pre
nant toujours le meilleur établissement comme le faisait mon père, ne se souciant que du fait que j’aille en cours pour apprendre à le succéder, quelque chose que je ne souhaite pas bien entendu en voyant comment il travaille juste pour me voir heureux dans la maison. Il sait très bien que l’on est assez riche pourtant il continue sans cesse. Il ne pense pas à moi en somme, du moins j’en ai pas beaucoup l’impression. Seul les domestiques font attention à moi, certain m’aide pour les devoirs que je ne comprends pas, souvent surprit d’ailleurs par ma chambre très décoré de tout se qui concerne les
sorcières, ma collection d’arme, ainsi que le tableau de ma mère accrocher au mur.
Une journée tout à fait normal dans mon établissement, mais elle n’avait rien à voir avec les autres vu que c’était la première. Officiellement j’entrai au lycée un mois après mon inscription, soit la moitié du premier mois de l’année scolaire. J’ai manqué deux semaines pour la simple raison que mon père m’a recommandé de revoir un peu mon Japo
nais juste quelque temps de voir si je n’avais rien oublier. Il disait que sera très utile si je voyage en plus de l’anglais. Je n’aime pas l’anglais, langue apparemment simple, bien trop simple mainte
nant pour moi qui maitrise le japo
nais. J’allais quand même à ses cours juste pour avoir quelques mots dans mon vocabulaire. Cette fois-ci mon père ne m’avait pas accompagné dans mon nouvel établissement, par ma demande fait au prêt de lui et dut également qu’il n’était pas là. Mon père avait proposé à l’un des domestiques de m’y amener mais je refusai poliment. Cette première journée fut un peu comme le collège mais cette fois j’étais seul. Seul face à tout le monde qui jetait le même regard que ceux du collège, entre surprit et plus ou moins moqueur. Aucune importance, je fermais les yeux sur ses élève là, bien qu’un moment je fut arrêter par l’un d’eux, enfin un petit groupe de cinq personnes qui me demandait pourquoi j’avais une tel tête de déterrer. Je ne répondis pas, je me contentai de les regarder d’un air de pousse toi de là que je passe, regard vers le plus grand d’entre eux, yeux d’un genre lever au ciel mais regard plus que sinistre, comme un genre de me
nace sans bouger le moindre cils. Voyant qu’il ne voulait toujours pas se déplacer attendant une moindre réponse de ma part, je le contour
nai de manière cool, d’après se que disait les autres, autres qui redoutait plus ou moins ce groupe de jeunes voyous. Mais ses jeunes gens ne voulait pas me laisser passer, enfin après que je les ai contourne, le même type me prit l’épaule puis le col en me criant dessus de ne pas l’ignorer, sans me soulever se qui me laissait la liberté de lui prendre son poignet d’abord doucement en lui signalant que me lâcher. Mais il m’écoute autant que je l’écoute alors pourquoi se gêner ? Le poignet entre ma main je sera de tout mes forces tout en tour
nant sa peau pour la froisser, en y plantant mes petits ongles dans son épiderme, lui faisant un peu mal au début mais au fur et a mesure il sentait sa peau lui bruler, me lâchant alors que je continuais ma rotation de son propre poignet, ne voulant pas le lâcher il faisait de sorte que le poignet ne lui fasse plus mal, bien entendu il se mettais dans une position inconfortable pour lui et fini par tomber, j’avais une sacré force il faut le dire, me faisant dos, j’en profita pour prendre son épaule et le lui déboiter d’un craquement sonore qui faisait fermer les yeux de nombreux visage comme s’ils avait mal à sa place, le voyou en question lui avait particulièrement mal, je lâcha son épaule et son poignet pour le laisser souffrir le temps qu’il comprennent un peu. Il fut envoyé à l’infirmerie par ses camarades qui n’ajoutait aucun mot. Les autres par contre, ceux qui regardaient la zone, s’approchait de moi en posant divers questions sur mon courage et la prise que je lui avais faite. Il parait que ce groupe faisait un peu la loi dans la cours, donc il risquait de revenir mais si j’avais besoin d’aide pour quoi que se soit, je n’avais pas à hésité. Je souri à tout le monde après avoir eu un visage surprit, à peine arriver déjà populaire…
Une chose est sur c’est que les problèmes une fois commencer ne s’arrête pas à un simple geste comme celui que j’avais fais contre cet élève. Pour lui avoir déboité l’épaule j’eu le droit à une heure de retenu pour m’être défendu. Injustice vu autant par moi que par les autres qui étaient contre cette retenue non mérité. Aucune importance, la retenu fut simplement une lecture du règlement ni plus ni moins, se qui me faisait rire pendant cette période est le fait de se demander ci son agresseur avait ou savait lire le règlement. Mais rien n’est stipulé que le droit de se défendre était interdit. Logique indéniable alors qu’une fois ma lecture fini je sorti avec cette remarque, preuve que le surveillant était soit d’accord soit qu’il ne savait pas quoi répondre à cela. La seconde agression se passait lorsque que j’étais seul une fois de plus, personne autour de moi alors il me prit en lâche… avec un couteau à la main. J’ai lu le règlement, les lames sont interdites. Je parti sans le moindre souci, ma neutralité cette fois ci même à la vue d’une lame qui pourrait me blesser je lui ai simplement dévier la pointe dans la direction opposer que j’allais prendre pour ensuite partir, sans rien dire à personne. Je n’allais rien faire cette fois, je serais encore en tort et prouver que celui là avait une lame ne pouvait pas se faire, surtout le lendemain. Le même élève me voyait mais ne savait pas quoi faire avec se qui est arrivé la veille, ma façon de réagir face à cette petite lame mais il m’oublia vite à la suite d’événement qui n’ont pas la moindre importance.
Les jours, les semaines et les mois passe à une vitesse incroyable, moi qui se souciait pas de mes cours, ses amis que je me suis fais par le temps ne m’ont pas vu faire passer le temps. En cachant la richesse que je possède, cachant le fait que je sois plus ou moins riche par rapport aux autres, le fait que je ne parle jamais de mes parents. Enfin sauf une fois, ou bien entendu lorsque j’ai dis que ma mère n’était plus de ce monde, tout le monde à bien compris qu’elle était comme décéder. Je n’allais pas révéler le fait qu’elle soit une
sorcières, on allait me prendre pour un fou avec une histoire pareil. Bien entendu tout histoire d’ami fini par avoir au moins une personne, fille je précise, qui n’éprouve pas de l’attachement. Cela se voyait du fait de son regard à mon égard. Elle me regardait quand j’avais le dos tourner et une fois que je croisais son regard elle le détournait aussitôt. Petit sourire de voir une fille aussi timide que ça sans pour autant que j’éprouve aucun sentiment. Une joie retrouvée avec le temps. Bien entend une marchant dans les couloirs, la cours et divers lieu de l’établissement la rumeur du fait que cette fille avait un penchant pour moi se faisait entendre. Sourire caché de ma part à chaque fois que j’entendais cela et que je la croisais, qu’elle se cachait en me voyant. Fallait bien qu’elle le dise d’elle-même, bien que cela se voie beaucoup.
Une soirée quelques semaines après fut organisée. Une belle occasion pour tout le monde de se voir autrement qu’avec l’uniforme, une soirée dans la demeure de cette fille justement, son nom je m’en souviens encore, joli nom d’ailleurs, Rose. Qui se douterait que Rose était également riche un peu comme moi, je continue à le cacher aussi mais je n’apparaissais pas surprit par son manoir. Tout le monde était en tenue décontracter. Robe pour les filles, pantalon et veste classe pour les garçons. C’est une tenue un peu rock&roll que j’avais sur moi, aucun chapeau vu que la nuit était tombé mais un manteau et parapluie pour le soir encore ou le soleil persistait. J’avais prévenue les domestiques que je ne serai pas là ce soir là, mon père n’étant pas là inutile de le prévenir. Les domestiques de la maison prenait les manteaux, tout le monde avait un comportement correcte quelque chose au quel je m’y attendais pas du tout. Verre à la main, campagne pour tout le monde, eau pour moi. Je l’avais dit en entrant, pas de boisson alcooliser pour moi, en expliquant pourquoi à ce domestique qui accueillait les invités. Manoir aussi bien décorer de meuble, tapis et tableau que chez moi, la salle pour les invités n’avait rien de cela pour éviter les petits accidents. Il faut dire que toute les filles avait des robes superbes mais celle de Rose m’a éblouit c’est le cas de le dire. Robe longue, blanche, elle m’invita rapidement sans être aussi timide que d’habitude. Elle paraissait sure d’elle, cela faisait plaisir à voir, je lui adressai un sourire elle fit de même. La musique d’ambiance n’était pas pour tout le monde mais personne ne semblait déranger. Elle arrêta de me regardez un bref instant, des couples se formèrent et une musique de dance d’un orchestre signifiait que Rose voulait danser. Histoire que tout le monde se connaissent un peu plus, il n’y avait que moi et Rose dans cette valse, c’était un truc de riche mais tout le monde jouait le jeu, faut dire qu’en réalité l’établissement dans lequel je suis, et les invités en particulier viennent du même monde que moi. Ensemble on dansait tout en se parlant, voyant quelque détails que lui fit remarquer ma position ne l’éton
na pas plus que ça néanmoins on faisait un peu plus con
naissance. Se qui m’a value au milieu d’une des danses d’ailleurs un baiser de sa part suivi d’un sourire. Que je pouvais faire ? L’air surprit de voir qu’elle ferait ça aussi surement devant tout le monde qui avait applaudit par l’occasion. Elle a du courage, le sourire que je lui fis semblait la rendre tellement heureuse, je compre
nais ma mère mainte
nant.
Après la fête, le train-train quotidien, se qui s’est passé à la fête restait entre les invités. C’est une semaine après que tout changea de nouveau pour moi. En reve
nant de son travail pour passer sur temps à la maison avec nous, son avion s’était cracher dans un orage, réacteur en feu en plein milieu de l’océan on se doute bien que personne ne pouvait y survivre. Même si je n’aimais pas mon père j’en fus troublé, le nom des victimes avait été dit aux jour
naux, le père de Rose les lisant avait vu mon nom de famille dans cette liste, donc au lycée qu’elle me chercha mais je ne m’y trouvais pas le lendemain. Annoncer par le premier professeur que mon absence était volontaire, les élèves cherchèrent rapidement où j’habitais, du moins les invités de la soirée de Rose, Rose qui faisait partis de la dernière personne à venir me voir alors que je faisais à tout le monde un sourire comme si rien de s’était passé. Ils le voyaient bien mais n’insistait pas. Rose insista mais se n’était pas moi qui l’avait accueillit cette fois mais l’un des domestiques qui vint me chercher pour rencontrer Rose qui attendait dans le couloir avec l’air inquiète.
Allant dans mon lycée pour la dernière fois, j’annonçai à toute la classe que je partais m’installer à l’étranger, l’adresse m’étant déjà donné, je la fis passer à plusieurs de mes amis dans la salle afin de me contacter s’ils le veulent. C’était une semaine après le décès de mon père que se fut décider, les pleurs était les même que moi que pour Rose depuis la dernière fois que je lui ai dit ce projet, mainte
nant qu’il se réalise une tristesse parmi les élèves se faisait sentir, certain me demandait pourquoi partir mais la réponse fut irrémédiable.
Ma mère est d’origine japonaise, pour oublier mon père et allez dans le pays que j’ai toujours rêvé d’y vivre, je rends cela maintenant possible.Sourire forcé de ma part à cette annonce. Après avoir donné l’adresse de mon nouveau manoir au Japon, je parti Rose me suivant avec un geste du professeur. Elle en profita. M’appelant à travers le couloir alors que je me trouvais déjà à une bonne distance, les larmes aux yeux, elle accourra vers moi en m’embrassant une dernière fois et des déclarations que je ne pouvais accepter et un désolé qui fini la phrase alors que je repartais chez moi. Le démé
nagement se faisant rapidement, je ne voulais voir personne durant ce temps, pourtant Rose ve
nait tout les jours voir si elle pouvait me rencontrer. Sans succès, je l’a vit une dernière fois à l’aéroport alors que j’allais partir mais j’avais déjà passé les guichets donc elle ne pouvait pas me suivre. Elle embrassa sa main comme si c’était ma joue dans des pleurs si tristes que cela me rappelait la période ou j’avais perdu ma mère. J’avais aussi un regard triste, mais le choix était fait et je parti sans attendre.
La vie dans mon nouveau manoir se passait parfaitement bien, les domestiques ne parlait pas beaucoup lors de certaine visite de personne importante, manquant de vocabulaire Japo
nais. Je n’ai pas continué mes études, même si je ne le voulais pas je continuais de près ou de loin les affaires de mon père qui n’était pas encore terminer. Avec l’aide des patrons qui m’ont expliqué comment procéder, je pus finir tout se qu’il y avait à faire. Moi qui avait dit que j’oublierai tout se qui le concer
nait, me voila à continuer ses projets expliquer sur papier. Mais la fin des études et la poursuite des travaux de mon père à mon âge me permettaient de continuer un peu quelques recherches. Légendes, mythes, faits. Je recherchais tout, absolument tout pour savoir si au Japon, la réputation des sorcières était satisfaisante. En fait, bien des faits se sont produits sans explication, certain témoig
nage parlait de
sorcières, de magie, de dessin fait avec du sang humain, chambre close. Meurtres parfait qui éveillait mon attention. Evidemment je ne trouvai pas de nom de lieu aussi facilement, gardé secret, mais par le fait de l’argent se ne fut pas un réel problème. Mon regard plein d’enthousiasme d’en savoir plus, je fini pas trouver le nom d’une ile acheter par une famille également très riche, d’où bizarrement leur fortune sortirait de toute logique et bien entendu, parlant de magie…